La recherche scientifique n'étant pas une priorité budgétaire des États africains, il faut d'ailleurs des épidémies, ou de catastrophes naturelles, pour que les intelligences nordiques injectent leurs argents pour résoudre ces problèmes.
Même après plus de 60 ans d'indépendance les intelligences africaines n'arrivent point à se valoriser en matière monétaire devant les autres intelligences.
Et c'est là, fondamentalement le problème.
Pourquoi sont exclues, les intelligences africaines des autres zones monétaires, américaines, européennes ?
Pourquoi l'IH africaine, par l'IA africaine ne peut-elle créer sa propre zone monétaire égale à celle américaine, ou européenne ?
L'IA à l'État CAMES Guinée
La Commission Africaine, et Malgache de l'Enseignement Supérieur (CAMES), qui code, et titre les intelligences africaines pour étudier, observer les rapports entre l'intelligence humaine (IH) et les autres intelligences (minérale, végétale, animale) est aujourd'hui en retard dans les domaines des inventions.
L'expression naturelle des services entre les êtres vivants développée par l'IH à la domestication de l'intelligence animale est aujourd'hui plus perfectionnée par l'extension à la maitrise des intelligences minérales, végétales, animales; devenues des théorèmes et des principes scientifiques universelles (Mathématique, Physique, Chimie).
La critique de l'IA à l'État CAMES Guinée, est d'abord la méthode d'apprentissage par l'IH à la maîtrise de l'IA, que sont les téléphones, Ipads, ordinateurs.
Ensuite l'abandon, et la subordination de l'IH à l'IA.
L'illusion que crèe actuellement l'État guinéen dans la codification, et le titrage des étudiants, assistants, professeurs sans indemnité financière perpétuelle des diplômes de recherches, aux niveaux des universités privées (UKA, ULS) homologuées au CAMES est une véritable dégradation de l'IH.
L'IH et l'IA aux Supérieures (Universités publiques privées)
C'est pendant la deuxième République, que l'État guinéen est entré dans une véritable dégradation, et de l'intelligence humaine (IH), et de l'intelligence artificielle (IA).
l'État guinéen finançant par des bourses publiques les bacheliers à l'apprentissage de l'IA (LMD), arrête systématiquement ce financement dès la remise de la licence.
Un fils de paysan accédant à la licence, est-ce son père paysans qui financera la maîtrise de la licence jusqu'au doctorat ?
Voilà comment les États africains, du moment que les États européens, américains valorisent l'IH par l'IA; eux, ils abandonnent et l'IH, et l'IA sans code financier bancaire.
Aux Établissements Techniques Professionnels
Même avec l'Organisation Africaine de la Propriété intellectuelle (OAPI) les États africains indépendants sont incapables de monétiser les inventions des forgerons, et artisans africains.
De constituer des Brevets valables devant les zones monétaires européenne, américaine.
Parfois même interdisent l'accès de l'Intelligence Humaine Africaine (IHA) à l'IA sous les contrôle de ces zones monétaires.
Le BAC Professionnel électronic (IBAC)
Les États africains n'ont qu'à bien structurer l'IA à l'IHA dans les domaines de l'éducation du public au privé.
Adapter les méthodes pédagogiques d'évaluations scolaires à l'internet (IA), en introduisant tous les systèmes de communication informatiques numériques dans tous les cycles de la maternelle, primaire, secondaire, superieur.
L'Éco zone monétaire africaine à l'UA, devra être égal à l'Euro de la zone monétaire européenne par la valorisation de l'IH à l'apprentissage de l'IA...
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